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Les acteurs français du secteur, transporteurs comme industriels, ont entrepris de mettre en place une stratégie visant à limiter les « contrails », ces volutes blanches issues des réacteurs, qui sont des facteurs méconnus mais importants du réchauffement climatique.
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Pour la première fois, sur ce sujet, ils étaient tous là. Les grands noms du transport aérien tricolore – dont Airbus, Thales, Safran et Air France – ont répondu présent, jeudi 22 mai, à l’invitation de Christine Arrighi, députée groupe écologiste et social de Haute-Garonne. Ils sont venus participer, aux côtés de l’organisation non gouvernementale Transport & Environnement (T&E), au colloque intitulé « Réduire l’impact climatique des traînées de condensation par des stratégies d’évitement ».
Déjà accusé d’être à l’origine de 3 % des émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère, le transport aérien est aussi dénoncé pour les traînées de condensation que nombre d’avions créent dans leur sillage. Ces volutes blanches, qui s’étirent dans le ciel au sortir des réacteurs, sont le résultat de la combustion du kérosène. Ces traînées – ou contrails, en anglais – sont vilipendées, à tort, par les complotistes de toute sorte, qui les rendent responsables à la fois de la propagation du cancer, du Covid-19, de la stérilisation des populations ou de leur manipulation par la propagation de la 5G.
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