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Isabelle Chaperon
Le président américain se défend de tout conflit d’intérêts, ayant transféré à un trust géré par ses fils ses parts dans ses affaires. A l’heure où le roi de l’immobilier est devenu le roi des cryptos, secteur dont il tire la majeure partie de sa fortune et qu’il entend promouvoir, le mélange des genres devient un enjeu démocratique, souligne Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».
Publié aujourd’hui à 11h45, modifié à 11h51 Temps de Lecture 2 min.
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Certains noms de famille, comme Vuitton, Dior ou Hermès, valent des dizaines de milliards d’euros. Il y a quelques années, les cousins Rothschild s’étaient déchirés sur l’usage de l’un des plus mythiques patronymes de la finance. Quant aux Peugeot, ils facturent à leur holding d’investissement Peugeot Invest l’utilisation de leur griffe familiale. Ces empires industriels et financiers ont mis des décennies à imposer leur marque. Mais combien vaut le nom du président des Etats-Unis, dont l’exercice du pouvoir est censé être limité dans la durée ? La famille Trump a la réponse : le plus possible, le plus vite possible.
Lundi 16 juin, Eric et Donald Jr, les fils du président américain qui gèrent la petite affaire familiale, ont annoncé – depuis la Trump Tower bien sûr – le lancement prochain de Trump Mobile, avec la commercialisation d’un smartphone Android et d’un forfait mobile. Le téléphone, doré comme il se doit, vendu 499 dollars (432 euros), est censé être produit aux Etats-Unis.
Le même jour, Trump Media & Technology Group, le bras coté en Bourse de l’empire, a déposé un dossier pour créer un fonds indiciel sur le bitcoin et l’ethereum, deux cryptomonnaies.
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