Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
Article réservé aux abonnés
En apparence, rien ne change au magazine Challenges. Chaque jour encore, son fondateur et directeur Claude Perdriel, 98 ans et demi, s’installe derrière son vaste bureau, qui fut la table de salle à manger de sa mère, pour travailler. Quand il reçoit des visiteurs, le patron de presse prend toujours place dans l’un des deux canapés immaculés qui se font face, des modèles Bauhaus achetés en 1964. « Vous avez devant vous un homme heureux, sourit-il. J’aime Challenges, c’est un journal passionnant. Et jamais les politiques économiques n’ont été aussi importantes, alors que la situation économique de la France n’est pas très bonne. »
Celle du magazine économique ne l’est pourtant pas vraiment non plus. C’est pourquoi, une fois encore, Claude Perdriel, qui détient 60 % des éditions Croque Futur qui possèdent Challenges, et son actionnaire (à hauteur de 40 %), le groupe LVMH de Bernard Arnault, viennent de procéder à une augmentation de capital de 5 millions d’euros, ainsi que l’a écrit le média économique L’Informé.
A l’automne, les associés devraient signer un accord, encore en cours de discussion, pour réinjecter 6 millions d’euros : une somme dégagée par le rachat à Claude Perdriel par le groupe de luxe du magazine Sciences et Avenir et du trimestriel La Recherche. « La perte de 2024 étant de l’ordre de 5 millions d’euros seulement, nous nous retrouverons avec des finances qui sont bonnes, assure Claude Perdriel. D’autant qu’avec LVMH, nous avons été d’accord pour décider d’investir. »
Il vous reste 70.9% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.