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Le rôle de l’ancien secrétaire d’Etat au numérique comme actionnaire et conseiller de Mistral AI est problématique pour l’émission « Cash Investigation », pas pour la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique.
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Une concomitance fait réapparaître les accusations de conflit d’intérêts envers Cédric O, ex-secrétaire d’Etat au numérique devenu actionnaire minoritaire et conseiller de la start-up d’intelligence artificielle (IA) Mistral AI.
Le vendredi 20 juin devait avoir lieu à Paris une audience à la suite de la plainte pour diffamation déposée par Cédric O contre Bertrand Burgalat, musicien et président du Syndicat national de l’édition phonographique, qui l’avait accusé de « prise illégale d’intérêts », le 13 mars 2024 sur BFM Business (l’audience a finalement été reportée au 26 janvier). Et mardi 24 juin, le magazine d’enquête de France 2 « Cash Investigation » consacre à l’ancien membre du gouvernement un volet de son émission « Politique et business : les liaisons dangereuses ? ».
Ces reproches sont formulés, notamment dans le milieu de la culture, depuis la création en avril 2023 de Mistral AI. Cédric O, qui avait quitté le gouvernement en mai 2022 pour retourner dans le privé, en est devenu cofondateur et actionnaire (soit 1,17 % du capital, une part depuis diluée à la suite des levées de fonds à environ 0,5 % et valorisé autour de 27 millions d’euros, selon « Cash Investigation »), avec un rôle de conseiller en affaires publiques, jusqu’en février 2024.
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