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La « start-up nation » chère à Emmanuel Macron cherche à diversifier ses financements, alors que les levées de fonds dont elles bénéficient sont en chute libre depuis 2022.

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Au stand de la French tech, au salon VivaTech, porte de Versailles, à Paris, le 13 juin 2025.

Pour démontrer qu’elle est l’une des places qui compte sur l’échiquier mondial de la tech, Paris multiplie les superlatifs. Station F ? Le plus grand campus de start-up au monde, propriété de Xavier Niel (membre du conseil de surveillance du Groupe Le Monde). VivaTech ? Le plus grand événement de la planète tech, aux dires de son cofondateur Maurice Lévy (Publicis).

L’heure n’est pourtant pas à la fête pour la « start-up nation », expression chère à Emmanuel Macron, qui s’en est fait le chantre. Les levées de fonds, qui ont connu une envolée constante jusqu’en 2022 – atteignant cette année-là un record de 13,5 milliards d’euros –, n’ont pas cessé de décliner depuis : 8,3 milliards en 2023, puis 7,8 milliards en 2024, selon le cabinet EY. Les premiers mois de 2025 voient l’espoir d’un rebond s’éloigner : les investissements devaient se creuser encore fortement sur les cinq premiers mois de l’année (− 30 % par rapport à la même période en 2024).

Depuis le 1er janvier, seuls trois tours de table ont réuni 100 millions d’euros ou plus : Loft Orbital dans le spatial (170 millions d’euros), Powesco dans l’énergie (150 millions) et Alice & Bob dans le quantique (100 millions). De grosses levées pourraient toutefois survenir dans ces prochains mois veulent croire les optimistes. Selon le Financial Times, Mistral, le leader français de l’intelligence artificielle (IA), serait ainsi en train de mener une nouvelle levée de 1 milliard de dollars (plus de 856 000 euros).

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