Cet article vous est offert

Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous

Se connecter

Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement

Depuis l’apparition des premiers cas dans l’agglomération de Saint-Quentin le 12 juin, 22 enfants et une personne âgée ont contracté la bactérie « Escherichia coli » (« E. coli »).

Une boucherie fermée temporairement par précaution à Saint-Quentin (Aisne), le 23 juin 2025.

Le pôle de santé publique du parquet de Paris s’est saisi, mercredi 25 juin, de l’enquête relative aux intoxications dans l’Aisne, qui ont notamment causé la mort d’une adolescente, a annoncé jeudi la procureure la République de Paris, Laure Beccuau. « Au regard du nombre des victimes, qui s’élève désormais à 23, et de la technicité des investigations attendues, le parquet de Saint-Quentin s’est dessaisi le 25 juin 2025 pour le pôle de santé publique du parquet de Paris », a-t-elle détaillé dans un communiqué.

Depuis l’apparition des premiers cas dans l’agglomération de Saint-Quentin le 12 juin, 22 enfants et une personne âgée ont contracté la bactérie Escherichia coli (E. coli). Une adolescente, Elise, est morte le 16 juin.

Soupçonnant une infection alimentaire liée à la consommation de viande, les autorités ont fermé préventivement, depuis la semaine dernière, quatre boucheries halal et deux rayons boucherie de supermarchés de l’agglomération de Saint-Quentin. Les échantillons prélevés dans ces lieux de vente sont toujours en cours d’examen.

Le 21 juin, le parquet de Saint-Quentin avait ouvert une enquête préliminaire des chefs d’homicide involontaire, blessures involontaires, mise en danger et tromperie aggravée par la mise en danger de la santé humaine. Les investigations ont été confiées à l’Oclaesp (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique), la BNEVP (Brigade nationale des enquêtes vétérinaires et phytosanitaires) et au commissariat de Saint-Quentin.

« Les mêmes services d’enquête restent saisis. Les investigations techniques ont pour but de rechercher si les enfants ont été contaminés par la même bactérie, et à quelle occasion », a précisé Mme Beccuau.

Le Monde avec AFP

Réutiliser ce contenu

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

Découvrir les offres multicomptes
  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.