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Le ministre des transports a étendu les mesures de protection des conducteurs contre les explosions accidentelles des airbags défectueux Takata, ordonnant un rappel de tous les véhicules à risque et l’immobilisation de 800 000 nouvelles voitures.

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Un module d’airbag du fabricant japonais Takata, dans un garage de Mulhouse, le 19 février 2025.

Elles étaient toutes présentes ou représentées. Les associations de victimes de plusieurs scandales automobiles s’étaient rassemblées, mardi 24 juin, à Paris, unies dans un profond ressentiment envers des constructeurs accusés d’avoir eu pendant des années « les yeux rivés sur leur rentabilité au détriment de la sécurité ». Ces mots sont ceux de MChristophe Lèguevaques, avocat au barreau de Paris et de Toulouse, et initiateur de la rencontre. MLèguevaques représente des dizaines de victimes présumées de ces affaires, à travers plusieurs actions collectives conjointes mutualisées sur la plate-forme MyLeo. legal.

Au premier rang de ces scandales, figure le plus dramatique : celui des airbags défectueux Takata, dont les explosions accidentelles ont fait au total 18 morts et 25 blessés – dont 16 décès et 24 blessés dans les départements et territoires d’outre-mer. Face à ce bilan, les associations, quelle que soit l’affaire (étaient présents aussi une trentaine de victimes de moteurs Renault et Stellantis gravement défectueux), appellent à des mesures plus contraignantes envers les entreprises concernées et à la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire sur les pratiques des industriels.

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