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La plateforme de VTC Uber a appelé au calme mercredi, en regrettant l’agression physique de quatre chauffeurs.
Des centaines de taxis manifestaient jeudi 22 mai pour le quatrième jour de suite à Paris contre les nouvelles conditions du transport sanitaire et la concurrence des voitures de transport avec chauffeur (VTC), a appris l’Agence France-Presse (AFP) auprès de leurs représentants. Un barrage filtrant a été mis en place à l’entrée de l’aéroport Charles-de-Gaulle par une vingtaine de taxis, selon un des organisateurs. Et plusieurs centaines de taxis venus de toute la France bloquaient toujours le boulevard Raspail, dans le centre de Paris, près du ministère des transports, a déclaré l’association Elite Taxi, qui défend les intérêts de la profession.
L’intersyndicale a commencé lundi une mobilisation massive pour protester contre un projet de nouvelle tarification de l’Assurance-maladie sur les transports de malades par des chauffeurs de taxi conventionnés. Ces trajets vers les hôpitaux ou cabinets médicaux représentent une part essentielle du chiffre d’affaires de nombreux chauffeurs.
Le climat s’est tendu à plusieurs reprises avec les forces de l’ordre, mais aussi avec les conducteurs de VTC. La plateforme de VTC Uber a appelé au calme mercredi en regrettant l’agression physique de quatre chauffeurs, « incluant des menaces avec une arme à feu, un Taser et même avec utilisation d’une bombe lacrymogène ». Mercredi, le ministère des transports a proposé un contrôle renforcé des VTC.
Le Monde avec AFP
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