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Il est un domaine sur lequel les professionnels du tourisme sont incollables : les calendriers scolaires. Le début des vacances pour la zone A ou B, quel jour de la semaine tombe le 11 novembre ou le 25 décembre, les dates de congés des Allemands… Autant d’éléments qui rythment l’activité de ces hôteliers, restaurateurs, opérateurs de remontées mécaniques, loueurs de kayaks ou dirigeants de campings, qui pèsent 8 % du produit intérieur brut de la France.
Le moindre changement les affecte, aussi espèrent-ils être entendus par la convention citoyenne sur les temps de l’enfant, qui réunit, à partir du 20 juin, sous la houlette du Conseil économique social et environnemental, 130 citoyens tirés au sort pour sept sessions de travail. L’enjeu : réfléchir aux différents temps des enfants, afin qu’ils soient « plus favorables à leurs apprentissages, à leur développement et à leur santé », selon les termes posés par le premier ministre.
Dans ce débat, les professionnels du tourisme, forts de leur 1,7 million d’emplois, entendent défendre une position : les vacances doivent rester les plus étalées possible, et ne pas diminuer en volume sur l’année. « Le tourisme est un enjeu vital pour certaines régions, et le remplissage des équipements (hôtels, campings…) ne se réalise qu’à des périodes très restreintes de l’année », remarque Julien Cahon, enseignant-chercheur d’histoire de l’éducation.
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