Cet article vous est offert

Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous

Se connecter

Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement

Dans la continuité des Assises du travail, ce nouveau réseau créé à l’initiative de la CFDT ambitionne d’être un laboratoire d’idées destiné aux mutations du travail, ouvert à diverses expertises et capable de faire remonter du terrain les attentes des actifs.

Article réservé aux abonnés

Sur une ligne de production des pastilles Vichy, à Hauterive (Allier), le 13 mai 2025.

Lancées sous l’égide du gouvernement en 2022, les Assises du travail avaient pour objectif de réfléchir sur le sens du travail. Leurs travaux accouchaient, l’année suivante, d’un rapport assorti d’une série de recommandations. Malheureusement, celles-ci n’ont « pas suffisamment été suivies d’effet », regrette Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT. D’où l’annonce, par cette dernière, jeudi 15 mai, d’une nouvelle initiative nommée « Places du travail » pour prendre le relais des Assises.

Concrètement, les Places du travail vont prendre la forme d’un laboratoire d’idées déployé en réseau accueillant des chercheurs, des représentants de la société civile et des acteurs du numérique, de l’environnement et du monde de l’entreprise. Ce cadre permettra à « ceux qui réfléchissent et agissent sur les transformations environnementales et sociétales » de dialoguer avec « ceux qui pensent le travail de demain », explique Marylise Léon, qui estime que « ces mondes se côtoient mais ne se parlent pas assez ».

Les Places du travail se veulent donc œcuméniques, dans l’esprit de ce qui les a précédées. Cosignataire du rapport précité des Assises du travail et présidente de la commission travail, emploi du Conseil économique, social et environnemental, Sophie Thiéry insiste d’ailleurs sur l’intérêt d’y accueillir « des gens qui ont un regard différent, des divergences parfois même de pensée ». Cette diversité permettra d’« animer le débat public sur les transformations du travail » et d’établir « des recommandations concrètes à destination des pouvoirs publics et des organisations patronales », poursuit Sophie Thiéry.

Il vous reste 60.22% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

Découvrir les offres multicomptes
  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.