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Une manifestation se tient jusqu’au 15 juin avec un programme de conférences sur les architectures des deux monuments parisiens.
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« Rentre chez toi ! », « On veut pas de cette verrue ! »… Les noms d’oiseaux fusaient, mercredi 12 juin, dans le salon d’honneur du Grand Palais. Ils étaient assénés par des membres de l’assistance, assis à même le sol, à destination du jeune homme à la barbe bien fournie leur faisant face et essayant tant bien que mal, dans un français teinté d’un fort accent italien, d’aller au bout de son discours. « Nous avons donc pensé ce bâtiment, non pas comme un monument, mais plutôt le contraire, comme un anti-monument. Un centre qui ne soit pas un temple de la culture sacré, fermé, qui intimide, mais plutôt un bâtiment laboratoire, une “machine” qui se laisse manipuler, un “grand paquebot” qui embarque tout le monde… »
Nouvelle salve de quolibet : « C’est Woodstock à Paris ! », « Apprends à parler français ! », « Ce n’est pas Beaubourg, c’est Mochebourg ! »… Et le vaillant orateur de poursuivre : « Nous avons conscience de la sensibilité des riverains aux questions relatives à l’insertion d’un tel bâtiment dans un tissu urbain aussi dense que celui du quartier Beaubourg. Je voudrais dire ici que le bâtiment ne se ferme pas à la ville. Au contraire, il regarde la ville, il l’écoute et respire avec elle… »
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