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L’utilisation des outils mécanisés est à l’origine de 10 % à 15 % des accidents du travail en France, selon l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles. L’organisme a mis en place, en mars, une journée technique pour alerter les employeurs.

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Les presses plieuses fabriquent des pièces métalliques. Dangereuses, elles ont été robotisées. Ici dans l’entreprise Sofop-Taliaplast, à Montoir-de-Bretagne (Loire-Atlantique), en décembre 2015.

Le ton du récit a beau être celui, impassible, de l’habitué, la scène décrite n’en fait pas moins froid dans le dos. « Cela se passe dans un établissement qui fabrique des cartes électroniques, sur une machine qui coupe des gaines thermorétractables en plastique. L’opératrice, constatant des morceaux de gaine accumulés au niveau du couteau de découpe, engage sa main pour les récupérer. Et se retrouve amputée de la dernière phalange de trois doigts de la même main. Comment se fait-il que l’on puisse retirer la protection de la lame sans que cela arrête la machine ? », interroge Jean-Christophe Blaise, responsable de laboratoire à l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS).

Pour plonger d’emblée cette journée technique sur les « risques professionnels liés aux machines » dans la réalité, l’expert égrène une série d’exemples glaçants devant 160 émissaires d’entreprises de tous secteurs, dont beaucoup chargés des questions de santé et de sécurité ; plus de 1 000 sont connectés en ligne.

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