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La CFDT, la CFE-CGC et la CFTC pourraient mettre de côté leur exigence de revenir sur la retraite à 64 ans, mais elles réclament des améliorations en échange.

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Patrick Martin, président du Medef, et Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, lors d’une conférence sur les finances publiques et le budget, à Paris, le 15 avril 2025.

Opération tamisage au 20, avenue de Ségur à Paris. Dans cet immeuble monumental abritant plusieurs services rattachés à Matignon, des syndicalistes et des militants patronaux se réunissent, jeudi 12 juin, pour la quatorzième fois afin d’essayer d’améliorer la législation sur les retraites et de garantir l’équilibre financier de notre système par répartition. Lancées à la fin de février, les discussions sont animées par Jean-Jacques Marette, la personnalité désignée par le gouvernement pour faciliter l’accouchement d’un éventuel accord.

L’ex-directeur général d’Agirc-Arrco, le régime complémentaire du privé, a transmis aux protagonistes, quelques heures plus tôt, un nouveau projet de « relevé de conclusions » avec plusieurs scénarios d’évolution des règles. Le texte qui circule a subi une énorme retouche par rapport à la version antérieure : il ne contient plus aucune option visant à revenir sur la retraite à 64 ans. Cette rédaction ne suscite pas de commentaire particulier, aux dires de deux participants. Elle avait été actée par les personnes présentes à l’issue d’une précédente rencontre, mercredi 11 juin. A bas bruit, les trois confédérations encore impliquées dans les pourparlers – la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC – mettent de côté leur principale exigence.

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