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Ce vaste projet de loi, en attente d’approbation par le Sénat, couvre des dépenses très variées, de la politique fiscale au financement des expulsions de masse et aux fonds alloués au Pentagone. Pour le faire passer, le président américain a exercé des pressions redoutables sur les élus de son camp.
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La marge est la plus étroite possible, mais le succès probant, au bout d’un marathon législatif nocturne. Donald Trump a réussi la première partie du pari politique le plus risqué de ce début de mandature, jeudi 22 mai, en obtenant le passage à la Chambre des représentants du One Big Beautiful Bill Act (OBBB) – littéralement : « un grand et beau projet de loi ».
Adoptée par 215 voix contre 214, cette mosaïque de plus de 1 000 pages doit à présent être soumise au Sénat. Elle couvre des dépenses très variées, de la politique fiscale au financement des expulsions de masse, en passant par les fonds alloués au Pentagone. Selon les estimations du bureau du budget du Congrès, ce texte va alourdir la dette – qui s’élève déjà à plus de 36 000 milliards de dollars (31 900 milliards d’euros) – de 2 400 milliards de dollars. De quoi ajouter de la fébrilité sur les marchés, déjà secoués par la politique brouillonne de la Maison Blanche en matière de droits de douane.
Donald Trump et ses partisans hésitaient, à l’origine, à aborder tous les sujets dans un texte unique, en raison de la difficulté à préserver une discipline de vote au sein d’un groupe républicain à la majorité courte et aux divisions internes connues. Le président a finalement décidé de passer en force. Il a trouvé le nom enfantin du texte, il a exercé des pressions redoutables sur les élus de son camp, et, enfin, il a compté sur Mike Johnson, le speaker, pour négocier les compromis de dernière minute sur les points techniques.
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