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Les pièces de fast-fashion dans les associations sont difficiles à revendre d’occasion en raison de leur piètre qualité. Devenues majoritaires chez les acteurs de la seconde main, elles remettent en cause leur modèle économique.
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Trier toujours plus, pour dénicher toujours moins… Dans le hangar de 2 000 mètres carrés du centre de tri Emmaüs d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), de grands bacs en plastique gris, alignés en enfilade, débordent de vêtements. Le tri effectué le matin, comme tous les mercredis, s’avère de plus en plus difficile en raison d’un afflux massif de vêtements. « C’est devenu infernal. Nous sommes toujours 40 personnes, mais les volumes que nous recevons ne cessent d’augmenter », déplore Philippe Garrec, responsable du réseau de la Communauté Emmaüs de Paris. « Jusqu’où cela va aller ? », se demande-t-il, alors que le Sénat a voté, mardi 10 juin, une version modifiée de la loi anti-fast-fashion, qui vise en particulier les plateformes chinoises de mode, comme Shein et Temu.
Même son de cloche chez Emilie Morand, responsable du centre de tri Relais Val de Seine : « Tous nos stocks pour l’année sont déjà pleins, le risque d’engorgement est réel », prévient-elle. Sur 120 000 tonnes de déchets récoltées chaque année sur le centre, seulement 80 000 tonnes peuvent être triées, faute de place et de moyens.
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