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Faute d’attractivité, de nombreux industriels du médicament n’envisagent pas d’investir dans l’Hexagone dans les trois prochaines années, selon les résultats du baromètre annuel du LEEM, l’association professionnelle du secteur.
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La France décroche. A quelques mois de la présentation du prochain budget de la Sécurité sociale, qui s’annonce épineux compte tenu du déficit des finances publiques, les laboratoires pharmaceutiques s’alarment de la perte d’attractivité du marché tricolore. 64 % d’entre eux écartent la probabilité d’y investir dans les trois prochaines années, selon le baromètre annuel de l’attractivité de la France, présenté ce mardi 17 juin par le LEEM, l’organisation professionnelle qui représente les entreprises du médicament.
Les Big Pharma, qui doivent souvent batailler avec des maisons mères étrangères lors des arbitrages financiers, sont les plus pessimistes. Elles sont 69 % à estimer peu, voire très peu probable, d’investir dans l’Hexagone au cours des trois années à venir, contre seulement 50 % des petites et moyennes entreprises.
La France ne manque pourtant pas d’atouts. Avec 35 milliards d’euros de dépenses pharmaceutiques annuelles, soit 516 euros par habitant, l’Hexagone est le deuxième plus gros marché du médicament d’Europe, derrière l’Allemagne (60 milliards d’euros). Elle figure également dans le trio de tête du continent en termes d’emplois avec plus de 98 000 salariés.
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