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Jean-Pierre Farandou, à la tête du groupe public depuis 2019, devait partir début juillet en raison de la limite d’âge de 68 ans pour diriger l’entreprise. L’État lui a demandé de prolonger ses fonctions.
Il devait partir début juillet en raison de la limite d’âge de 68 ans pour diriger l’entreprise. Le PDG de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, a finalement annoncé mercredi 25 juin avoir accepté de prolonger son intérim à la tête du groupe ferroviaire national à la demande de l’Etat, a-t-on appris auprès du groupe public. Interrogé sur le sujet par des journalistes mercredi matin, « M. Farandou a répondu que l’Etat lui avait demandé, lors du conseil d’administration du 19 juin, de poursuivre son intérim jusqu’à l’automne », a-t-on appris auprès du groupe.
Jean-Pierre Farandou, entré en 1981 dans le groupe public dont il a pris les rênes en 2019, n’avait pas été reconduit pour un deuxième mandat en mai 2024, mais s’était vu confier la mission de poursuivre en intérim en attendant la désignation par l’Etat de son successeur.
L’intérim, qui devait cesser après les Jeux olympiques de Paris, s’est toutefois prolongé et semblait devoir s’interrompre le 4 juillet pour le 68e anniversaire du cheminot en chef, synonyme de limite d’âge. A l’approche du délai, M. Farandou n’a pas esquivé mercredi la question lors d’un point presse de la SNCF sur l’apport de l’intelligence artificielle pour le transport ferroviaire.
« L’Etat m’a demandé de prolonger mon intérim jusqu’à l’automne. J’ai accepté même si je commençais à envisager une nouvelle vie », a-t-il déclaré selon ses propos rapportés par Le Figaro. « Je rends service. Ce n’est pas moi qui m’accroche. Cette entreprise, c’est la mienne », a-t-il ajouté, selon le quotidien.
Pour lui succéder, le nom de l’ancien premier ministre Jean Castex, actuel PDG de la RATP, revient régulièrement sur les lèvres des observateurs. Parmi les autres noms cités figurent celui de Xavier Piechaczyk, président de RTE, ou encore celui de Marie-Ange Debon, présidente de Keolis (filiale de la SNCF).
Dans une interview en avril à La Tribune, le ministre des transports, Philippe Tabarot, imaginait, pour succéder à M. Farandou, « quelqu’un qui sait dialoguer avec ses salariés, qui a la culture du résultat financier, (…) qui a une connaissance de la maison, du ferroviaire et du territoire ». « Je vous laisse deviner quelle peut être cette personne », avait-il ajouté.
Le Monde avec AFP
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