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Cette nouvelle entité cherche notamment à « faire connaître l’utilité du spatial pour le bien commun » et « favoriser la diversité » dans ce secteur.

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L’astronaute Thomas Pesquet, à New Delhi, le 9 octobre 2023.

La 55e édition du Salon international de l’aéronautique et de l’espace, qui se tient au Bourget (Seine-Saint-Denis) jusqu’au dimanche 22 juin, a été l’occasion d’annoncer la prochaine création de la Fondation de l’espace. Laurence Monnoyer-Smith, directrice du Centre national d’études spatiales (CNES), chargée du développement durable, attend la publication imminente au Journal officiel des décrets relatifs à cette fondation, lancée par trois universités – Toulouse Capitole, Lyon-II, ISAE Supaero –, le CNES, ACRI-ST – une entreprise de Grasse (Alpes-Maritimes) spécialisée dans l’utilisation de données issues de l’observation de la Terre par les collectivités locales – et la communauté d’agglomération Cannes Pays de Lerins.

Cette fondation sera présidée par l’astronaute français Thomas Pesquet, qui en prendra les rênes dès le premier conseil d’administration, prévu pour le début de septembre. Au moment où la recherche spatiale fait l’objet de nombreuses interrogations, notamment d’un point de vue écologique, Laurence Monnoyer-Smith compte sur cette fondation pour mieux « faire connaître l’utilité du spatial pour le bien commun ».

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