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Monique de Marco, sénatrice Les Ecologistes de Gironde, soutient une proposition de loi qui permettrait aux artistes et auteurs qui n’ont pas le statut d’intermittent du spectacle d’obtenir au minimum 85 % du smic entre deux commandes

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Monique de Marco, sénatrice Les Ecologistes de Gironde, à Paris, le 8 mars 2023.

Garantir une continuité de revenus aux artistes-auteurs recensés par l’Urssaf Limousin (l’organisme national qui collecte leurs cotisations sociales) : tel est le sens de la proposition de loi défendue par Monique de Marco, sénatrice de la Gironde (Les Ecologistes), vice-présidente de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication. Cette initiative vise tous les créateurs qui n’ont pas accès au régime des intermittents du spectacle. A savoir, plus d’une trentaine de professions dont les écrivains, traducteurs, réalisateurs de film, metteurs en scène, scénaristes, compositeurs, plasticiens, photographes, commissaires d’exposition, critiques d’art ou encore chorégraphes…

Aujourd’hui, quand une pièce de théâtre est jouée, les comédiens, les techniciens comme l’électricien, le peintre décorateur, l’habilleuse ou le coiffeur peuvent accéder au chômage pendant les périodes de vaches maigres, s’ils ont travaillé un minimum de 507 heures dans l’année – ils bénéficient du statut d’intermittents du spectacle. Mais pas le dramaturge, ni le metteur en scène. Idem lors d’un tournage de film : tous bénéficient du statut d’intermittents, sauf le réalisateur et le compositeur.

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