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En 2013, l’achat par la France de 12 drones de renseignement américain Reaper, fabriqués par General Atomics, devait être une solution « intermédiaire », le temps que les industriels français ou européens sortent leurs propres appareils. Douze ans plus tard, les militaires les attendent toujours.
Tous les programmes de drones dits « MALE » (moyenne altitude longue endurance), capables de voler plus de vingt-quatre heures au-delà de 5 000 mètres d’altitude, avec des capteurs sophistiqués (radars, boules optiques…) pour recueillir des informations en toute discrétion, ont soit échoué (EuroMALE, Talarion ou Telemos) soit pris des années de retard. L’Eurodrone d’Airbus ne devrait pas être opérationnel avant 2031, quinze ans après la notification officielle du programme par la France, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie.
Pour essayer de rattraper une partie du temps perdu, la France tente une autre méthode. En visite sur le Salon international de l’air et de l’espace du Bourget (Seine-Saint-Denis), mardi 17 juin, le ministre des armées, Sébastien Lecornu, a signé des conventions de subventions avec cinq industriels pour soutenir la réalisation de démonstrateurs MALE à bas coûts. Moins complets ou performants que l’Eurodrone, ils présenteront l’avantage d’être disponibles dès la fin 2026. L’un des signataires est une entreprise confirmée, Daher, mais les quatre autres sont des acteurs émergents de l’aéronautique : Aura Aero, FLY-R, SE Aviation et Turgis Gaillard.
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