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Malgré les aides publiques, le géant de l’acier a annoncé jeudi qu’il n’investira pas 2,5 milliards d’euros pour décarboner deux sites outre-Rhin. Cette décision, qui rappelle celle prise à l’aciérie de Dunkerque, intervient au moment où la multinationale prévoit de supprimer jusqu’à 1 400 postes en Europe.
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Mêmes causes, mêmes effets. Le groupe sidérurgique ArcelorMittal a annoncé, jeudi 19 juin, qu’il renonçait à un investissement de plus de 2 milliards d’euros pour décarboner deux de ses sites en Allemagne, invoquant « le manque de rentabilité » de l’acier à faible émission de CO2. Cet abandon rappelle celui, pour les mêmes raisons, fin 2024, du programme de décarbonation de l’aciérie française de Dunkerque (Nord), qui illustre la crise historique traversée par l’acier en Europe.
La décision du numéro deux mondial de l’acier est un nouveau coup de massue pour l’industrie sidérurgique allemande, alors que l’autre géant de la filière outre-Rhin, le groupe ThyssenKrupp, a décidé de son côté, fin 2024, de supprimer 11 000 emplois dans le pays.
La sidérurgie européenne doit affronter plusieurs défis majeurs : la chute drastique de la consommation en Europe, en particulier dans les secteurs de l’automobile et de la construction ; la concurrence de l’acier chinois produit à bas coût et en très grande quantité ; les prix élevés de l’énergie dans la plupart des pays européens ; et, désormais, la hausse des droits de douane de 50 % aux Etats-Unis décidée par l’administration de Donald Trump.
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