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Le « sommet des libertés », mardi 24 juin, a réuni les principales têtes d’affiche de l’extrême droite. Les dirigeants des Républicains et les figures du libéralisme ont brillé par leur absence.

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Marion Maréchal, lors du « sommet des libertés », au Casino de Paris, le 24 juin 2025.

On peut être riche à milliards et voir ses noces gâchées par un défaut de climatisation. Il faisait chaud, trop chaud au Casino de Paris, mardi 24 juin, pour l’événement co-organisé par des structures de Vincent Bolloré et Pierre-Edouard Stérin, les deux promoteurs d’une union entre droite et extrême droite sur un programme libéral, conservateur et xénophobe. Ce « sommet des libertés », organisé dans cette salle de concerts parisienne détenue par le groupe Bolloré, était la première collaboration d’envergure entre les deux hommes d’affaires, qui se connaissent et participent, chacun à leur façon, à la droitisation du débat public en France.

La jonction entre les deux milliardaires se matérialise dans l’organisation à deux têtes. D’un côté, Périclès, la structure d’influence financée par Pierre-Edouard Stérin, qui promet d’engager jusqu’à 150 millions d’euros sur dix ans pour mettre ses idées au pouvoir ; de l’autre, Le Journal du dimanche (JDD), institution de la presse française rachetée par l’homme d’affaires breton en 2023, et depuis transformé en hebdomadaire d’extrême droite. Les partenaires de l’événement sont, en quasi-totalité, des petites structures associatives que Périclès revendique d’aider dans leur développement.

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