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Le procureur de Nanterre a ouvert il y a plusieurs mois une enquête préliminaire après une plainte au pénal concernant les défaillances de moteurs ayant équipé plus de 130 000 véhicules du groupe Renault en France. La DGCCRF vient d’être chargée de l’investigation.
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Alors que Renault semblait miraculeusement épargné par le drame des airbags Takata, voilà la firme au losange rattrapée par un tout autre dossier : celui du « motorgate », surnom donné en référence au « dieselgate ». L’histoire est ici assez différente (et bien plus petite), car elle se concentre sur les dysfonctionnements de l’un des moteurs phares du constructeur : le TCe 1,2 litre à essence. Ce moteur, monté sur de nombreux modèles de Renault Dacia et Nissan produits entre 2012 et 2016, aurait une tendance très forte à casser. Or, dans ce qui apparaît comme une affaire automobile de plus, la machine judiciaire avance à petits pas, certes, mais elle avance.
Le parquet de Nanterre a confirmé au Monde, mercredi 25 juin, avoir ouvert une enquête préliminaire sur ce dossier, le 9 octobre 2023 – il y a donc plus d’un an et demi –, sans que cela ait été jusqu’ici dévoilé. Et, plus récemment, en ce début d’année, Camille Siegrist, premier vice-procureur du tribunal judiciaire de Nanterre, chef du pôle économique et financier, a confié l’investigation sur cette affaire à la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). C’est le service national des enquêtes de cette dernière, disposant des moyens techniques de mener à bien des investigations poussées, qui a été précisément mandaté.
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