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Vendredi 23 mai, la mairie de Paris a présenté une analyse complète, réalisée par l’Atelier parisien d’urbanisme, sur les effets de la mise en place de la voie réservée au covoiturage, début mars.

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Sur le périphérique, à côté d’un panneau indiquant que la voie de gauche est réservée au covoiturage, aux bus, aux taxis, aux véhicules d’urgence et aux personnes à mobilité réduite, à Paris, le 6 mars 2025.

Pour faire accepter le passage de la limitation de vitesse sur le boulevard périphérique à 50 kilomètres à l’heure (km/h) et l’instauration d’une voie réservée au covoiturage sur l’autoroute urbaine la plus fréquentée d’Europe, la maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, avait accepté, à l’hiver 2024-2025, une clause de revoyure demandée par le préfet de police, Laurent Nuñez, pas forcément très allant sur le sujet, et la présidente (Libres !) de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, évidemment vent debout contre ces deux mesures.

Tout serait monitoré, comparé, analysé, partagé, avait promis la Ville. On jugerait du bien-fondé ou non de ces mesures pensées pour réduire la circulation automobile et la pollution qui en découle à partir de chiffres précis, et non d’un calcul hypothétique sur le temps que mettrait un habitant de Seine-Saint-Denis pour se rendre dans le sud des Hauts-de-Seine au petit matin. Les résultats, encourageants, liés à l’abaissement de la vitesse ont déjà été partagés par la Ville et le sont, tous les vendredis, sous la forme d’un bulletin qui donne la « météo » de la voie rapide par rapport à l’année précédente.

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