Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
Isabelle Chaperon
Pour lutter contre les abus d’IA dans la musique, Deezer a dévoilé un outil de détection. On sait ainsi que 18 % de la musique mise en ligne chaque jour sur la plateforme – soit plus de 20 000 titres – est entièrement générée par des modèles d’IA, constate Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».
Publié aujourd’hui à 11h10 Temps de Lecture 1 min.
Article réservé aux abonnés
L’industrie du disque a fait face, par le passé, à des accusations de tricherie, qui ont pu déstabiliser une génération entière de fans : est-ce bien la voix de Plastic Bertrand sur le tube Ça plane pour moi, sorti en 1977 ? On va s’aimer, de Gilbert Montagné, est-il le fruit du plagiat ?
Le sentiment de trahison qui en résulte n’approche pas, toutefois, le traumatisme ressenti en découvrant que la chanson écoutée en boucle sur une playlist n’est pas du Céline Dion, mais une œuvre synthétique. Les enjeux économiques s’avèrent encore plus vertigineux. Une partie des revenus du streaming, qui représentaient 69 % des 29,6 milliards de dollars (25,7 milliards d’euros) de recettes mondiales de l’industrie de la musique enregistrée en 2024, va terminer dans l’escarcelle de l’intelligence artificielle (IA).
Pour lutter contre les abus, Deezer a dévoilé, vendredi 20 juin, le « premier système d’étiquetage au monde permettant d’identifier les albums contenant des titres générés par intelligence artificielle ». Les utilisateurs de la plateforme sauront ainsi où ils laissent traîner leurs oreilles. L’outil de détection de Deezer pointe que « 18 % de la musique mise en ligne chaque jour – soit plus de 20 000 titres – est entièrement générée par des modèles d’IA » : c’était 10 % en janvier.
Il vous reste 50.19% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.