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Seize départements étaient en vigilance orange canicule, vendredi 20 juin. Un décret entre en vigueur mardi 1ᵉʳ juillet pour préciser les obligations des employeurs en matière de prévention des risques lors des épisodes de chaleur intense.
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Ces derniers jours, courriels et appels se multiplient à l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), un organisme spécialisé dans la prévention des risques professionnels. « Chaque année, les questions des employeurs comme des salariés n’arrivent que lorsqu’il commence vraiment à faire très chaud, constate Jennifer Shettle, responsable du pôle information juridique à l’INRS. Or, le principal message qu’on cherche à faire passer, c’est justement qu’il faut anticiper et agir en amont. »
Les questions viennent de tous les secteurs : BTP, restauration, petits commerces, spas, jardineries… « Dans les métiers où les personnes doivent protéger leurs mains, garder un masque, ou porter des vêtements longs pour leur sécurité, ça n’est pas toujours adapté avec la chaleur, il peut ainsi y avoir des conflits d’intérêts, explique Mme Shettle. Il faut alors trouver d’autres moyens et agir sur l’organisation du travail, par exemple, en adaptant les horaires, le rythme… »
Ce type de « conflit d’intérêts » est justement au cœur d’un mouvement social depuis la mi-juin chez les éboueurs de l’agglomération de Niort. « Au premier pic de chaleur, certains des agents sont venus travailler en short. Notre responsable a alors refusé que l’on parte collecter dans cette tenue, et les bennes sont restées au dépôt », explique Mickaël Billy, délégué CGT. Le lendemain, le syndicat (minoritaire) déposait un préavis de grève. Mais plutôt que de se mettre en grève, certains agents ont préféré braver l’interdiction et aller collecter mollets à l’air.
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