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Des prix du brut installés sous la barre des 70 dollars, et, dans une moindre mesure, l’instabilité liée aux mesures de Donald Trump, vont peser sur les résultats du géant français et sur sa trésorerie.
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Comme les autres grandes entreprises pétrolières des Etats-Unis ou d’Europe, TotalEnergies fait face, depuis début avril, à une difficulté imprévue. La compagnie française est prise en étau. D’un côté, les annonces de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), notamment l’Arabie saoudite, qui veut soudain produire plus. De l’autre, celles du président américain, Donald Trump, qui menace de plomber l’économie mondiale par des droits de douane divers et variés.
Les marchés ayant anticipé un surplus d’offre par rapport à la demande, les cours du pétrole sont désormais à leur plus bas niveau depuis quatre ans. Vendredi 23 mai dans l’après-midi, cette nouvelle donne sera dans tous les esprits lors de l’assemblée générale annuelle du groupe, dans le quartier de la Défense, à Courbevoie (Hauts-de-Seine).
Du 19 au 23 mai, le prix du baril de brent, référence européenne, a tourné autour de 65 dollars (58 euros environ). C’est bien moins qu’au premier trimestre (près de 76 dollars en moyenne), sans parler de la totalité de l’exercice 2024 (près de 81 dollars).
Pour 2025, TotalEnergies avait construit ses prévisions à partir de l’hypothèse d’un prix moyen de 70 dollars. Mais chaque variation peut peser lourd : 5 dollars en moins, ce serait 1,4 milliard de dollars enlevés à son flux de trésorerie. Car c’est encore au pétrole et au gaz, deux énergies fossiles responsables du dérèglement climatique, que le groupe doit l’essentiel de ses revenus. Même si, jeudi 22 mai, à la veille de l’assemblée générale, il communiquait plutôt sur l’inauguration de son « plus grand champ solaire en Europe », près de Séville, en Espagne.
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