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Auditionné au Sénat, mercredi 21 mai, le PDG de LVMH a expliqué que le maintien des tensions commerciales menaçait la filière de l’eau-de-vie et du cognac, qui emploie 80 000 personnes dans le département.
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« Je suis un peu choqué. » Lors de son audition devant la commission d’enquête sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises, au Sénat, mercredi 21 mai, Bernard Arnault a commencé par tancer son rapporteur, Fabien Gay, élu de Seine-Saint-Denis, membre du groupe communiste, républicain, citoyen et écologiste, et directeur du journal L’Humanité.
Le matin même, sous le titre « Le luxe sabre l’emploi », le quotidien a « trouvé opportun », a ironisé M. Arnault, de consacrer sa une à la suppression par LVMH de 1 200 postes au sein de la division vins et spiritueux, annoncée le 30 avril. « C’est précisément le contraire », a fait valoir le PDG et fondateur du groupe de luxe, avant de préciser que ces mesures sont prises sans licenciements, en renonçant au remplacement de salariés sur le départ.
« Compte tenu de la conjoncture, nous ne pouvons conserver le même nombre d’emplois », a fait valoir le PDG du groupe qui salarie 9 400 personnes au sein de sa division vins et spiritueux. Connu pour le cognac Hennessy et le champagne Moët et Chandon, ce pôle de marques a enregistré une baisse de chiffre d’affaires de 11 % en 2024, à 5,9 milliards d’euros. Et les ventes ont continué de plonger au premier trimestre 2025 avec un recul 9 %.
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